Quatre mois après le scandale causé par sa performance à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris, on parle encore de nudisme à Philippe Katerine !
Non content d’avoir fait irruption en tenue d’Adam sur France Inter en août 2024, le chanteur est encore revenu sur l’affaire dans le podcast Fenêtre sur corps de L’équipe, cette semaine.
Souvenez-vous, en juillet 2024, il était apparu sous une cloche, et sur un plateau, le corps peint en bleu, dans le rôle de Dionysos.
Déguisé en dieu du vin, de la fête et des vignes, il avait interprété son titre Nu, un message de paix important.
Philippe Katerine dégoute ses enfants
Malheureusement, ils sont nombreux à ne pas l’avoir entendu (ni vu) de cette oreille-là. Au-delà des plaintes et de la censure, qui ont obligé le chanteur à présenter ses excuses, Philippe Katerine est décrié même chez lui.
C’est ce qu’il explique à nos confrères, en assurant qu’il ne peut plus se balader tout nu chez lui, comme il avait l’habitude de la faire auparavant. Papa de Billy né le 16 juin 2011 et Alfred né le 8 août 2012, qu’il a eu avec Julie Depardieu, il a expliqué sa situation.
“J’ai des enfants de 12 et 13 ans, et maintenant, il n’est plus question de se mettre tout nu à la maison, parce que maintenant ce sont des remarques : ‘Ah, mais quelle horreur, c’est dégoûtant !’ Et ce ne sont pas des propos à intégrer” a-t-il raconté.
Et d’ajouter : “Maintenant, je ne me promène plus tout nu à la maison, et je pense que j’ai une frustration”, insistant même avec humour qu’il s’agissait d’une “frustration domestique”.
De quoi rompre avec une habitude qui lui plaisait pourtant bien, ces dernières années. Philippe Katerine reconnait : “C’est à la fois grotesque de dire ça et amusant pour moi parce que c’est tellement grotesque”.
Il commençait à ne plus avoir de complexes
Et pour cause, il n’a pas toujours été à l’aise avec son corps, mais maintenant, il l’est, dit-il. En effet, le chanteur assure : “À un moment donné, je me suis facilement exposé dans les moments de peinture sur corps, en 2005 ou 2006. J’ai exposé mon corps sans complexes, je ne sais pas pourquoi, ça m’est venu comme ça, mais je n’ai plus du tout eu de complexes”.
Il se souvient par ailleurs : “Ce qui n’était pas du tout le cas quand j’étais svelte. Plus je me suis empâté, moins j’ai eu de complexes, c’est curieux. Maintenant j’expose mon corps avec joie”. Ah dommage alors.