Après 20 ans de divorce, Marine Le Pen avoue ENFIN qui est l’amour de sa vie.

Le cas de figure ne s’est encore jamais présenté en France, où aucune femme n’est encore parvenue à la présidence de la République. Que deviendrait Louis Aliot, vice-président du FN et conseiller régional du Languedoc-Roussillon, si sa compagne Marine Le Pen remportait l’élection de 2017?

C’est la question qui a été soumise au député européen par les étudiants de Sciences Po dans une interview diffusée le 19 juin dernier. Une chose est sûre: il mettrait fin à ses mandats politiques pour se consacrer à un engagement moral qui corresponde à ses idées. Mais Louis Aliot n’entend pas seulement «collecter les pièces jaunes», à l’instar de Bernadette Chirac.

«Non très honnêtement je m’imagine plus avec une mission pour réhabiliter la mémoire, et on pourrait dire la dignité des harkis notamment et de ceux qui ont été totalement méprisés, abandonnés par la République, qui pour beaucoup ont payé de leurs vies et qui,

aujourd’hui, ne sont toujours pas reconnus dans ce qu’ils ont vécu», explique-t-il. Un projet qui avait déjà été évoqué dans l’ouvrage Hommes de … (Éditions du moment), de la journaliste d’Europe 1 Bérengère Bonte, comme relevé par Le Lab. «Le jour où elle entre à l’Élysée, j’arrête tout (…) Pour le respect des institutions, je pense qu’il ne peut y avoir qu’un centre de pouvoir, et que ce centre ne doit surtout pas subir d’influence privée. Ce serait une gêne pour elle, on tenterait de me piéger pour la mettre en difficulté. La seule solution, c’est que je m’efface complètement (…) Je m’occuperai peut-être des harkis, mais je ne ferai plus de politique active, c’est certain», confiait notamment Louis Aliot dans le livre.

Abandonner la politique pour se concentrer sur les harkis, ce nouvel agenda lui laisserait certainement plus de temps pour voir sa compagne Marine Le Pen. En effet Louis Aliot s’est laissé aller à une petite confidence personnelle pour Sciences Po TV: les impératifs de la vie publique soumettent son couple à rude épreuve: «On ne va pas assez au cinéma, mais on s’occupe des jardins évidemment». La rançon du succès pour l’eurodéputé, qui refuse de s’en plaindre: «On est ensemble à Bruxelles et à Strasbourg! Et vous oubliez un paramètre, c’est que je suis élu à Perpignan, que j’y tiens beaucoup et que j’y suis souvent». Pour un élu tellement sollicité, la vie de «premier homme de France» apparaît presque comme une sinécure.

Related Posts

Après avoir été au chevet de son ex-compagnon Roger, Delphine Wespiser retrouve le sourire

C’est une heureuse nouvelle pour Delphine Wespiser. La brune de 33 ans s’affiche de nouveau souriante après des moments difficiles avec son ex-compagnon Roger. Et il faut…

Frank Delay, l’ancien membre des 2Be3, à cœur ouvert sur le comportement « autodestructeur »

Il y a plus de vingt ans, les 2Be3 faisaient chavirer le cœur de milliers d’adolescents. Avec leurs chorégraphies millimétrées, leurs refrains entêtants et leur image de gendres idéaux,…

Final Berkeley funeral: Extrovert Lorcán ‘threw everything he had into everything he did’

Invité sur le plateau de C à vous ce mercredi 21 février, le chanteur Enrico Macias s’est laissé aller à quelques confidences sur son épouse et sur la douleur…

À 52 ans, Vanessa Demouy nomme les 5 personnes à qui elle ne pardonnera jamais : La vérité sur son divorce et ses années d’humiliation

Le public connaît Vanessa Demouy pour son sourire éclatant, icône de la beauté française et star incontournable de la série culte “Classe Mannequin” dans les années 90….

KO en direct : Comment Jordan Bardella a pulvérisé le piège de Gilles Verdez sur TPMP en une leçon magistrale

Le plateau de “Touche pas à mon poste” (TPMP) n’est pas une simple émission de divertissement. C’est devenu, au fil des ans, une arène politique, un ring…

La Malédiction de la Lambada : Du Vol Planétaire à l’Assassinat Sauvage de la chanteuse de Kaoma

Été 1989. Une vague de chaleur sensuelle déferle sur le monde. Un rythme unique, obsédant, venu du Brésil, fait se déhancher la planète entière. C’est la «…