Caroline de Monaco a trouvé refuge dans une bergerie provençale du XVIIe siècle. Un lieu empreint d’histoire et de sérénité, où les cigales rythment encore ses séjours.
En octobre 1990, la vie de Caroline de Monaco bascule. Elle perd l’amour de sa vie, Stefano Casiraghi, et choisit la discrétion pour se protéger, elle et ses trois enfants. Comme le rapporte Soir Mag, la princesse se tourne alors vers la région de Saint-Rémy de Provence, où une bergerie du XVIIe siècle devient le cœur d’une reconstruction intime, loin des projecteurs.
Le refuge provençal de Caroline de Monaco après la tempête
Dans ce paysage de garrigue et de lumière, Caroline de Monaco s’installe avec Andrea, Charlotte et Pierre. Le lieu reste sobre. C’est une authentique bergerie, pensée pour la tranquillité plus que pour l’apparat. Ici, la simplicité prime et l’on privilégie l’essentiel, l’intimité, le rythme des saisons… l’épure d’une maison qui protège plutôt qu’elle n’expose.
À Saint-Rémy, “bercée par le chant des cigales”, la princesse retrouve un quotidien mesuré. La maison impose un tempo doux, compatible avec l’enfance de ses aînés et la pudeur nécessaire au deuil. Le cadre rural, la discrétion des murs anciens et la vie de village offrent un écran naturel au tumulte médiatique, sans rien sacrifier à l’élégance d’un mas du sud.
Caroline de Monaco : du clos monégasque à la bergerie
Soir Mag rappelle qu’au moment de son premier mariage avec Philippe Junot, Caroline de Monaco reçoit de ses parents le clos Saint-Pierre, au cœur de Monaco. Un cocon urbain qui, avant le drame, est son lieu de vie. Après 1990, l’équilibre se déplace. La Provence s’impose, plus protectrice, plus à taille humaine, avec une maison pensée pour durer.
La bergerie du XVIIe devient alors un ancrage. On imagine des volumes modestes, des matières anciennes, une silhouette de mas, idéale pour se ressourcer. Ce choix raconte aussi une vision de l’art de vivre. Moins de faste, plus de sens, une maison qui apaise et qui relie.
Caroline de Monaco n’a jamais abandonné la bergerie
Si elle n’y réside plus en permanence, Caroline de Monaco garde les clés de ce refuge. Elle y revient, seule ou en famille, dès que l’agenda le permet. La maison reste un fil rouge, une adresse de vacances et de mémoire, où l’on se retrouve sans protocole, au rythme du Sud.
Plus qu’un lieu, la bergerie demeure un chapitre vivant de son histoire. Elle symbolise une reconstruction discrète, dans un décor patrimonial qui ne revendique rien, sinon la paix. Avec le temps, Caroline de Monaco en fait une maison repère, un espace de transmission, une parenthèse fidèle à l’esprit d’origine, simple et serein.