Le 16 mai 2023, une soirée prestigieuse s’achève pour le prince Harry et sa bien-aimée Meghan Markle, récompensée lors d’une cérémonie organisée par la Fondation Ms.pour les femmes de vision à New York. Mais la nuit tourne au cauchemar.
Les Sussex dénoncent une “course-poursuite presque catastrophique” avec des paparazzi agressifs.
Des images les montrent dans un taxi, tandis que des déclarations de leur équipe de sécurité qualifient la poursuite de “chaotique” et “potentiellement fatale”.
Pourtant, les sceptiques, comme le maire de New York, Eric Adams, remettent en question la gravité des faits, citant le trafic dense de Manhattan.
Le prince Harry exige des réponses et des arrestations
Déterminé à obtenir justice, le prince Harry, qui a récemment fait le buzz, s’est rapidement heurté à l’inertie des autorités. Des courriels révélés par DailyMail.com dévoilent que le duc a ressenti une “dissimulation intentionnelle” dans l’enquête du NYPD. Dès septembre 2023, une première lettre du chef des renseignements du NYPD, John Hart, affirme qu’il manque de preuves pour procéder à des arrestations. Cependant, une seconde lettre datée de décembre inverse cette position, déclarant qu’il existe désormais “des preuves suffisantes” pour incriminer deux individus pour mise en danger imprudente.
Malgré ce revirement, aucune arrestation n’a eu lieu à ce jour, suscitant la colère du duc de Sussex. Frustré par la lenteur de l’enquête, le frère du prince William aurait demandé l’intervention du gouverneur de Californie, Gavin Newsom, pour faire pression sur les procureurs de Manhattan. Ce dernier a également menacé de porter l’affaire devant des instances supérieures, évoquant même une plainte officielle.
Une bataille judiciaire transatlantique
Cette affaire s’inscrit dans un contexte plus large de lutte pour la sécurité de la famille Sussex. En décembre 2023, en pleine audience à Londres, le prince Harry tentait de contraindre le gouvernement britannique à financer sa protection lorsqu’il est sur le sol britannique. La lettre du NYPD, datée du 6 décembre, a été utilisée pour souligner le danger que représentent les paparazzi pour le couple. Malgré ces efforts, la justice britannique a rejeté sa demande, estimant que le père d’Archie et Lilibet n’avait pas droit au même niveau de sécurité qu’un membre toujours actif de la famille royale. Une sécurité qui, on le rappelle, est en grande partie financée par les contribuables britanniques.