Enfin celle de son mari Jamel Debbouze plus précisément, dont elle est très proche.

Preuve en est avec son doux message adressé à sa belle-mère, qui a ému sa belle-soeur Nawel.

En se mariant et en ayant deux enfants (Léon, 16 ans, et Lila, 13 ans), le power couple formé par Mélissa Theuriau et Jamel Debbouze a créé des liens très forts avec les familles respectives.

Preuve en est avec la récente publication de la journaliste et productrice qui a fait une tendre déclaration à ses beaux-parents en souvenir d’un jour particulier, celui de la mort du père de Jamel Debbouze.

“4 ans déjà”, écrit Mélissa Theuriau en légende d’une photo des parents de Jamel Debbouze. Puis elle ajoute en dessous de cette tendre photo : “Tu manques à tes enfants et petits enfants. On ne t’oublie pas Ba, et on pense à Mima.”

Une publication qui a ému la belle-soeur de Mélissa Theuriau, Nawel Debbouze, et qu’elle a republié en y ajoutant des mots spirituels : “Qu’Allah lui ouvre la plus belle porte du paradis. Amin.”

Ce n’est pas la première fois que Mélissa Theuriau rend hommage à ses proches. Elle avait déjà honoré la mémoire de son beau-père en 2021, quand Ahmed Touzani a été emporté par la maladie à l’âge de 71 ans. Quant à ses liens avec sa belle-mère Fatima, surnommée Biba, ils ont tout l’air d’être solides. En 2022, l’ancienne star de Zone interdite publiait sur Instagram des photos d’elle lors des fêtes de fin d’année, et la maman de l’humoriste apparaissait très proche de Brigitte, sa propre mère. Elles font aussi parfois des événements mondains ensemble, comme cette avant-première de la série Terminal avec Jamel Debbouze.

Mélissa Theuriau bien intégrée au sein de la famille de Jamel Debbouze

Les mauvaises langues ont pu prédire que l’intégration de Mélissa Theuriau au sein de la famille de Jamel Debbouze serait compliquée mais il n’en est rien ! Dans le magazine ELLE, la star de télévision expliquait en toute sincérité : “Venant d’une famille française qui, même si elle ne pratique pas, est chrétienne, je redoutais un peu que les siens ne veuillent me changer, voire me convertir. Toujours les a priori. Mais il n’y a jamais rien eu de cet ordre-là. Je n’ai jamais ressenti le moindre sentiment d’exclusion. Au contraire. Même si je commence à comprendre un peu l’arabe, ils font toujours extrêmement attention à ne pas le parler entre eux quand je suis là.” Un couple soudé au sein d’une large famille bienveillante, le secret de l’harmonie !